Lligat (2006), técnica mista sobre madeira * Mur (2006), técnica mista sobre madeira * Muntanya Llac (2000), técnica mista sobre madeira Arc, corda (2000), técnica mista e montagem sobre madeira Heus aquí el cos (1997-99), técnica mista sobre madeira Terra, manta (2000), técnica mista e montagem sobre tábua Sabata (1995), técnica mista sobre madeira Ventall I Ous (1996), bronze e montagem Cara marró (2000), técnica mista sobre tela Terra, écrits blancs (2000), técnica mista sobre madeira Oida (2006), técnica mista sobre tela Trapezi negre (2005), técnica mista sobre madeira Terra, palla (2000), pintura, terra, palha e montagem sobre madeira Esfera, cadena (1999), bronze e montagem Peu I cistella (1999), bronze e pintura Cames (2001), pintura, colagem e técnica mista sobre madeira Symétrie blanche (1991), pintura e verniz sobre papel Antoni Tàpies was born December 13, 1923, in Barcelona. His adolescence was disrupted by the Spanish Civil War and a serious illness that lasted two years. Tàpies began to study law in Barcelona in 1944 but decided instead within two years to devote himself exclusively to art. He was essentially self-taught as a painter; the few art classes he attended left little impression on him. Shortly after deciding to become an artist, he began attending clandestine meetings of the Blaus, an iconoclastic group of Catalan artists and writers who produced the review Dau al Set. Tàpies’s early work was influenced by the art of Max Ernst, Paul Klee, and Joan Miró, and by Eastern philosophy. His art was exhibited for the first time in the controversial Salo d’Octubre in Barcelona in 1948. He soon began to develop a recognizable personal style related to matière painting, or Art Informel [more], a movement that focused on the materials of art-making. The approach resulted in textural richness, but its more important aim was the exploration of the transformative qualities of matter. Tàpies freely adopted bits of detritus, earth, and stone—mediums that evoke solidity and mass—in his large-scale works. In 1950, his first solo show was held at the Galeries Laietanes, Barcelona, and he was included in the Carnegie International in Pittsburgh. That same year, the French government awarded Tàpies a scholarship that enabled him to spend a year in Paris. His first solo show in New York was presented in 1953 at the gallery of Martha Jackson, who arranged for his work to be shown the following year in various parts of the United States. During the 1950s and 1960s, Tàpies exhibited in major museums and galleries throughout the United States, Europe, Japan, and South America. In 1966, he began his collection of writings, La practica de l’art. In 1969, he and the poet Joan Brossa published their book, Frègoli; a second collaborative effort, Nocturn Matinal, appeared the following year. Tàpies received the Rubens Prize of Siegen, Germany, in 1972. Retrospective exhibitions were presented at the Musée National d’Art Moderne, Paris, in 1973 and at the Albright-Knox Art Gallery, Buffalo, New York, in 1977. The following year, he published his prize-winning autobiography, Memòria personal. In the early 1980s, he continued diversifying his mediums, producing his first ceramic sculptures and designing sets for Jacques Dupin’s play L’Eboulement. By 1992, three volumes of the catalogue raisonné of Tàpies’s work had been published. The following year, he and Cristina Iglesias represented Spain at the Venice Biennale, where his installation was awarded the Leone d’Oro. A retrospective exhibition was presented at the Galerie Nationale du Jeu de Paume, Paris, and the Guggenheim Museum SoHo, New York, in 1994–95. Tàpies lives in Barcelona. Salomon R. Guggenheim Museum, New York * Fundació Antoni Tàpies, Barcelona *
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‘’signatures for passwords’’ by donna rumble-smith, 2014. embroidered handwriting. follow me on twitter : bleedingvuitton
Aron Wiesenfeld ©2009, charcoal on paper, 50"x38" www.aronwiesenfeld.com
Mattijn Franssen is photo-montage artist from Hilversum, Netherlands who created the surreal and realistic fantasy photomontages with castles, mountains
ERNST LUDWIG KIRCHNER 1930
Suchst Du noch eine Idee für ein Muttertagsgeschenk? Dann solltest Du mal reinschauen. Bei mir findest Du viele praktische und schöne DIY Geschenkideen, die sich mit grossen und kleinen Kindern prima basteln lassen.
Atlas or The Tyran by Karl Sterrer (1910)
These lovely planters are made from upcycled plastic bottles and containers of all kinds and this could make a perfect DIY project for this spring season with
#RT PRM escoge representantes ante el Senado y la Cámara de Diputados https://t.co/DwFAGaHQrL
Les sculptures modernes sont conçues pour surprendre et faire réfléchir les gens ainsi que leur donner une nouvelle perspective sur l’art. Un Michel-Ange du 21e siècle devrait pouvoir tromper la gravité, découvrir de nouvelles lois de la physique, créer de nouvelles couleurs et nous inspirer à rêver à de nouvelles choses. Ipnoze a dressé pour
Juan Muñoz , Hanging Figures, 1997
From limitations come creativity. It’s an age-old adage that’s been repeated in almost every industry. And it rings true for the Netherland-based artist Peter Gentenaar, whose billowing paper sculptures were born out of what he couldn’t do with commercial paper. As a printmaker, Gentenaar’s search for a better type of paper led him to an unexpected process of creating his own custom beater that processes and mills long-fiber paper pulp into the material he now uses in his artwork. More
Il visual artist americano Tom Deininger realizza splendide sculture spazzatura assemblando tra loro giocattoli, materiali di recupero e oggetti trovati per strada.
El diseñador Garth Britzman ha diseñado -a través del uso de Rhinoceros y Grasshopper- una cubierta de fácil transpor...
Updated. Several paintings of card readers tell fascinating stories. As tarot readers we work with the images in pictures as rich symbols of the human condition. It would be interesting to hear wha…
Vous ne connaissez pas encore les Bent Objects de Terry Border ? Ben voilà, maintenant si. Le monsieur est un artiste d'Indianapolis qui donne vie à de petits objets avec des petits fils de fer. Le ré...
Photographer Jairo Alvarez's self-portraits are illusive masterpieces.
(miComunidad.com) Proverbios 3:9 ¿Cómo honras al Señor con tus bienes? Dios promete guiar y bendecir a aquellos que confían en Él
La plupart des dirigeants de l’UE sont confrontés à des crises ou des événements traduisant la méfiance croissante des citoyens face aux forces dominantes, explique Pierre Lévy, rédacteur en chef du mensuel Ruptures. Londres, Berlin, Rome, Madrid, Bruxelles, Stockholm. Et Paris. Si un européiste s’était éclipsé de l’UE il y a quelques années et ré-atterrissait aujourd’hui, il serait atterré, éberlué, anéanti. Où qu’il porte le regard, il ne découvrirait que ruines et cataclysmes. A commencer par ce fait de portée littéralement historique : pour la première fois, un pays va quitter l’Union européenne après en avoir démocratiquement décidé. Certes, les soubresauts ne sont pas terminés. Mais, d’une manière ou d’une autre, fût-ce à une échéance un peu plus éloignée qu’espéré par certains, le Royaume-Uni va reprendre le contrôle de ses lois, de ses deniers, de ses frontières. A Rome, le cauchemar de la Commission européenne s’est réalisé : la coalition baroque des «populistes» et de l’«extrême droite» est au pouvoir et ne s’estime pas tenue par les règles sacrées de l’euro L’Allemagne est, quant à elle, plongée depuis les élections de septembre 2017 dans une instabilité politique durable. Elections régionales calamiteuses, coalition chancelante et démission forcée de la patronne des chrétiens-démocrates : nul ne se risque à pronostiquer la fin de ce chaos qui paralyse Berlin sur la scène européenne. A Rome, le cauchemar de la Commission européenne s’est réalisé : la coalition baroque des «populistes» et de l’«extrême droite» est au pouvoir et ne s’estime pas tenue par les règles sacrées de l’euro. Certes, des signes de compromis sont envoyés vers Bruxelles. Mais le fait est là : l’un des pays réputés les plus euro-enthousiastes durant des décennies a tourné casaque. L’Espagne était il y a quelques mois encore décrite comme l’un des derniers pays immunisé contre ladite extrême droite. Or le parti Vox, jusqu’à présent marginal, vient d’entrer de manière fracassante dans le parlement régional d’Andalousie, et nourrit des espoirs réalistes de s’allier avec le Parti populaire (conservateur) en vue d’être associé au pouvoir à Madrid, peut-être dès 2019. La Belgique vient de plonger dans une crise gouvernementale. La Suède n’a toujours pas de gouvernement, près de quatre mois après les élections. Et si notre néo-huron tentait de se consoler en se tournant vers l’Est, le spectacle achèverait de le désespérer. La Pologne et plus encore la Hongrie sont en conflit avec l’Union qui a entamé contre elles des procédures pour «grave atteinte à l’Etat de droit». Quant à la Roumanie, elle est en passe de rejoindre le camp des moutons noirs «illibéraux», mais là avec un gouvernement social-démocrate. Comble de malheur : Bucarest prend au 1er janvier la présidence semestrielle du Conseil de l’UE. Dans ce qui représente pour les fans de l’Europe un champ de ruines et de mines, on ne saurait oublier la France. On peut même penser que le mouvement des Gilets jaunes constitue, parmi les Vingt-huit et hors Brexit, la crise la plus ample, la plus profonde, et la plus dangereuse pour l’intégration européenne. Parti d’un rejet ô combien légitime d’une taxe supplémentaire sur le carburant visant officiellement à imposer la «sobriété» énergétique «pour éviter la fin du monde», cette mobilisation allie dans une même dynamique l’irruption de la question sociale, à travers la révélation que la pauvreté et le mal-vivre ne sont pas le lot des seuls «exclus», mais bien de millions de ménages qui forment le monde du travail ; et la prégnance de la question nationale, comme en témoigne l’omniprésence du drapeau tricolore et de la Marseillaise. Emmanuel Macron n’est pas seulement démonétisé dans l’Hexagone. Il a largement perdu son crédit au sein des élites de l’UE, qui, il y encore un an, voyaient en lui le jeune et brillant sauveur de l’Europe Deux mots sont revenus comme un leitmotiv : pouvoir d’achat pour vivre décemment ; et souveraineté populaire, pour décider ensemble. Une auto-politisation accélérée résumée en une formule : «Nous sommes le peuple». Explosif et ravageur pour un président de la République symbolisant la richesse éhontée et l’arrogance assumée. Emmanuel Macron n’est pas seulement démonétisé dans l’Hexagone. Il a largement perdu son crédit au sein des élites de l’UE, qui, il y encore un an, voyaient en lui le jeune et brillant sauveur de l’Europe. La presse allemande, en particulier, ne lui pardonne pas d’être tombé de son piédestal jupitérien. C’en est fini des espoirs de réformes «audacieuses» et des ambitions européennes déclamées dans le discours de la Sorbonne. Concluant son intervention solennelle du 10 décembre, le maître de l’Elysée a usé notamment de deux formules : «Mon seul souci, c’est vous» ; «Notre seule bataille, c'est pour la France». La première est un aveu involontairement humoristique ; la seconde relève évidemment de l’escroquerie, mais révèle la force d’un mouvement qui a contraint le chantre de la «souveraineté européenne» à passer ce soir-là l’Europe par pertes et profits. Rien ne sera plus jamais comme avant. Source
Chie Aoki's sculptures are very mysterious and so is the artist. There's a complete loss of identity in the glistening black faceless forms. Aoki is an exception to the rule that an artist has to have information, a website, and gallery exhibitions that are available to peruse online, instead there is hardly a trace of the artist's identity available the web. This unusual lack of a significant online presence seems to continue the underlying theme of these beautiful sculptures; that they are a mystery and the work speaks itself. See more after the jump!
Rachel Garrard’s first solo exhibition Vessel has seen the artist take inspiration from the pursuit of Truth, or in particular; "notions of visibility, impermanence, interconnectedness and essence”
What would it be like to view a Merce Cunningham piece from the inside?